Hall d'entrée et vestiaires

Passage obligatoire avant la piste de danse ou le buffet, venez y déposer vos effets personnels pour passer une nuit en toute tranquillité. Notre hôtesse se fera une joie de vous garder soigneusement vos affaires.
Hall d'entrée et vestiaires Hotesse_slave_ptrs_2008_visuel_detail_galerie_image

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Dis donc ma mignonne, j'aurai besoin qu'on me garde le manche au chaud... Hummmmmm, viens par la coquine, ils se débrouilleront bien avec leurs pelures les autres!^^

La belle marquise se présenta au bal de sa plus belle parure d'époque. Une belle robe qui valait une fortune sans compter les bijoux et autres accessoires....(Groland ne s'occuppe pas de moi alors je le ruine). Un chignon compliqué et la voilà à l'entrée du bal mais qui aura le courage de l'inviter à danser ?

Hall d'entrée et vestiaires 081011054922109498

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Orchidée arriva très en avance. Elle faisait du covoiturage ce soir et avait partagé son cochet avec sa cousine qui se rendait à un rendez-vous secret à quelques pas de la salle des fêtes de Cambrai.

Elle fut orientée vers le vestibule pour se défaire de quelques effets. En fait, elle était peu vêtue et ne désirait rien enlever de plus! Un beau mâl l'avait devancé et s'affairait à déboutonner ses braies pour remettre son manche à la jeune fille qui l'accueillait.

Bonsoir messire, vous voilà bien audacieux de remettre ainsi vos attributs à une jeune inconnue, n'êtes-vous donc jamais venu à un bal masqué à Cambrai pour ignorer, que tout ce que vous laissez à l'entrée risque d'être égaré?

La belle Orchidée détaillait ce qu'elle voyait. Et bien mon cher, un homme avisé en vaut deux, au plaisir de vous retrouver plus tard dans la soirée, pour une danse que vous voudez bien m'accorder

La gueule encore pleine de victuailles qu'il avait "emporté" depuis le buffet, le vieux borgne marmonna quelques borborysmes tandis que l'hotesse s'occupait de lui.

Grumph... Vui, Ché cha.... T'à l'heure.... Hips, Cha chera avec plaichir!

Tout en lui essuyant un petit bout de barbaque qui pendait encore au coin de sa lèvre, la belle Orchidée pouffa de rire lorsqu'elle s'aperçut que le malotrus avait déjà trouvé le buffet et tenté sûrement de le dévaliser .
Puis se tournant vers la marquise qui faisait son entrée, s'inclina modestement pour la saluer. Bien le bonsoir Dame, il semblerait que nous soyons les premier à la fête, que nenni, le vieux borgne que voilà pourrait peut-être nous montrer le buffet pour nous faire patienter?

La marquise salua la ravissante dame en reluquant ses formes harmonieuses l'eau à la bouche.

Enchantée ravissante créature....je suis Stellie Marquise de Blain....j'espère que l'on va bien s'amuser à ce bal...

Elle regarda torqual se demandant si il était pas un peu sourd....

Sortant du gagibi de l'hotesse les cheveux en bataille, Torqual réajustait sans bandeau et s'avança vers les convives un large sourire aux lèvres.

Ah bon sang, quelle sauvageonne la petite, je lui ai... hummm, communiqué quelques coutumes milanaise. Vui voila... On va au buffet donc charmantes mesdames? Vous êtes resplendissantes à croquer! Venez, j'ai déjà effectué quelques repérages stratégiques, je préconise de nous lancer à l'assaut du buffet par le flanc nord!^^

Offrant un bras à chacune des deux sublimes créatures, le vieux borgne se dirigea vers le buffet remplit d'énergie et d'ardeur!

Vous ai je raconté comment nous avons mis une sévère déculotée aux troupes papales sur les plaines du Pô avec mes amis des compagnies mercenaires du duc de Milan? Non, quel impardonnable oubli... Tout avait pourtant fort mal commencé! Ne pas tenir compte des brouillards persistants qui masquaient les mouvements de l'ennemi aurait pu nous couter la victoire assurément.... Mais nous avions avec nous ce brave Galeazzo, un dresseur de molosses de combat de tout premier ordre!! Vous connaissez nos molosses italiens bien entendu? Non? Miseria... Le mastino napoletano par exemple, il est magnifique, saviez qu'il est très doux de nature avec les enfants, il arrivait même parfois...

Une fois lançé dans l'énumération de ses vieux souvenirs, le vieux borgne était intarissable!^^

Don arriva au hall d'entrée du bal de Cambrai. Il avait mis sa plus belle tenue et pris trois rose dans sa bouche, ce qui ne manquerait pas de séduire ces dames. Il regarda les personnes présentes mais n'en connaissait aucune. Un vieil homme borgne faisait la discussion avec une dame de bonne famille et une autre, au loin une dame en tenue légère semblait se remettre en place.

Le charme de Don Juan se devait de faire son effet dès les premières rencontres et il se décida à aller voir les dames, histoire de les faire virevolter sur la piste de danse et ainsi les séduire dès les premiers pas.

Mesdames, monsieur, bien le bonsoir. Gentes dames, permettez que je vous baise la main, tant de beauté ne peut être saluée.
Tenez gentes damoiselles, prenez ces roses pour faire éblouir votre grâce. Rassurez moi, vous êtes bien damoiselles ?, dit-il en tendant une rose à chacune.

La belle Orchidée était peu intéressée par les récits du beau mâle borgne, les guerres l'ennuyaient à mourir... mais elle resta polie en faisant semblant de s'y intéresser.
Elle adorait les mondanités, les bals, le gratin et les belles tenues.

Elle n'aimait que festoyer, bringuer et s'encanailler. Elle supportait mal la concurrence en matière de beauté et voyait en chaque femme une rivale. Elle sourit cependant à la marquise, sans trop lui montrer d'intérêt, elle était bien trop jolie et bien trop sexy pour lui donner de l'importance....

Lorsque Don Juan s'approcha d'elles, elle se précipita sur les roses qu'il leur tendait, et s'arrangea pour en saisir une tout en faisant tomber les autres, qu'elle piétina pour que la marquise n'en ait pas

Qu'elle charmante attention Don Juan, vous ne manquez pas de savoir vivre, désirez-vous nous accompagner jusqu'au buffet?
Bras dessous, bras dessus avec le borgne virile sur sa droite et Don Juan à sa gauche, elle essayait déjà de captiver toute l'attention pour voler la vedette à la marquise qu'elle trouvait vraiment trop séduisante à son goût!

Bonsoir, je viens ici pour me détendre.
Je me présente je suis le roi des bois et je suis accompagnés de ma reine des bois.
Dame robinette des bois
Nous espérons passer une agréable soirée.
Voici mes affaires pour le vestiaire.
Ma chère tu déposes tes affaires.

Robinette sourit à son robin

- Bien sur mon cher, voici mes effets cape et carquois, puis-je garder mon string amour des bois et des buissons, pouvant me servir de fronde? ^^

Neidanac s’étais vêtu un peu mieux que habitude pour participer au grand bal de cambrai dès son entré il vu qu’une charmante hôtesse étais la pour garder ses bien. D’un pas sur il roula une pelle a l’hôtesse.

-Je compte sur vous pour me la rendre plus tard chère dame bonne soirée a vous.

Neidanac fit doucement un clin d’œil a la jeune femme qui semblait un peu surprise, Neidanac se mis a scruter la salle tous d’abord il vu son père se faire mettre a sa place par une jolie demoiselle se qui fit rire Neidanac. Celui-ci étais surtout préoccuper a regarder Stellie une si belle femme ne méritais pas d’être seul a un bal. Il regarda autour de lui et arracha un bouquet de rose au main d’un Cambrésien inconnu qui voulais entrer dans la salle après lui. Il bouscula ensuite le jeune homme dehors et lui lança la loi du plus fort gamin !. Neidanac s’avança vers Stellie en saluant convenablement Orchidée et Don juan. Il passa tous prêt de son père et lui murmura.

-Je me demande comment ma mère ta laissez l’approcher avec ses manière regarde et apprend !.

Le jeune bourrin franchi la salle en saluant le deuxième couple et aperçu la belle Stellie aussi belle qu’a son habitude.

- Bonsoir belle demoiselle comme a votre habitude vous être ma foi très élégante au loin j’ai aperçu vos bijoux qui brillait fortement mais aussi proche je remarque que vos yeux sont plusieurs fois plus brillant que n’importe quel joyaux que le sol ait porté. Une si belle demoiselle ne mérite pas de passez une seule seconde seule laissez moi vous offrir mon bras pour vous escorter jusque au buffet ou je pourrais vous offrir un verre.

Neidanac regarda la jeune femme avant un sourire ravageur en lui tendant le bras.

Don Juan faisait quelques petits clins d'œil à la belle Stellie qui était fort bien habillée, lorsque la seconde demoiselle prit la rose de la marquise et l'écrasa en détournant le regard de Don Juan de la scène, afin de lui parler plus spécialement.

Qu'elle charmante attention Don Juan, vous ne manquez pas de savoir vivre, désirez-vous nous accompagner jusqu'au buffet?

Gente dame, toute attention ne peut point être aussi charmante que ce que votre visage angélique dégage. Votre robe vous met particulièrement en beauté et vos yeux en sont que plus resplendissants.
Allons au buffet, vos pas me guident.

Il regardait la donzelle avec un sourire béa et se mis à son bras, la voyant au passage embarquer le vieil homme borgne qui semblait bien avare. La beauté n'était point son caractère premier, mais toute sorte de concurrence était à ne pas sous estimer. Il fit un sourire à l'homme, tout en pensant bien le contraire de cette potentielle menace.

Lisette voulait entrer dans le vestibule pour se réchauffer, y'avait plein de monde qui bouchait l'entrée et elle dû forcer un peu pour entrer quand même.

Bonjour tout le monde, je suis Lisette, je suis artésienne et on m'a invité à Cambrai pour un bal masqué. Suis-je bien à la bonne adresse?

La douce Marquise embarquée vers le buffet par le valeureux Torqual et la belle Orchidée, était ravie de la tournure des évènements. L'histoire de Torqual était passionante et elle lui posa plein de questions malgré que l'ancien était partit dans son monologue, à son plus grand regret.

La belle Orchidée était apparement pas disposée à faire plus amples connaissances et s'en alla pour rejoindre un Don juan plein de roses. Stellie désemparée avec un moulin à paroles au bras, il lui fallait un sauveur....

En une fraction de seconde un bouquet de roses apparût sous son nez, leur parfum était un plaisir sans mot. Une voix familière la combla de flateries et Aristote sait que la belle Stellie adorait les flâteries.... Elle ne savait pas que Neidanac était si délicat dans la verbe, du coup la coquine se demanda quels autres talents il pouvait bien posséder.

Apres l'etiquette d'usage pour s'excuser apres de Torqual, elle pris le bras musclé de son chevalier et se dirigea vers le buffet.

Huum...Neidanac...je te remercie de m'avoir sauver...

Elle lui lança un regard de braise pour répondre à son regard si charmeur, sa main gantée sur son bras.

La belle Orchidée sourit en voyant la marquise s'embourber dans les histoires de guerre du borgne, elle avait senti venir l'ennui à plein nez, elle avait tant d'expérience en mondanité, qu'elle s'arrangeait toujours pour s'entourer de plusieurs galants et ainsi se mettre à l'abri de l'ennui

anck avait vu une affiche invitant à un bal en la ville de cambrai... réputation sulfureuse que cette ville pensa t'elle pourquoi pas. ils arriveront peu être à faire passer mon ennuie...

arrivant dans le hall d'entrée elle vit une grue faire le piquet au vestiaire. la regardant d'un air hautain n'ayant rien à lui laisser en dépôt, elle passa sont chemin pour entrer dans la salle de réception.

droite et fier comme à son habitude elle toisait du regard l'assistance déjà présente.
certain se bâfrer au buffet, une cocotte en grande tenue passait presque inaperçue dans une meringue géante, son regard s'attarda cependant sur la carrure fort séduisante d'un jeune soldat.

hum hum intéressant celui-ci.

son regard poursuivit son inspection et tomba sur une femme légèrement vêtu mais fort belle. son visage se crispa imperceptiblement puis fini par un rictus de satisfaction.

je sent que la soirée va être bonne.

Tous le plaisir est pour moi chère Stellie je suis conscient que mon père ne sait plus trop comment parler au jolie demoiselle comme vous le pauvre est obséder par la guerre désormais.

Neidanac avança doucement vers le buffet avec la jolie Stellie a son bras en marchant il croisa ses yeux dans les sien pour apercevoir le magnifiques regards de la jeune femme. Bientôt arriver au buffet il attendit que la jeune femme se serve il se contanta de la regarder.

Server vous Stellie je préfère vous savourer du regard plutôt de m’empifrer comme mon cher père mais par contre je veux bien une bonne chope ! Garçon une choppe ! puige-je vous offrir une verre ?

Neidanac lanca son regard charmeur a la jeune demoiselle en attendant sa réponse.

Lisette manquait un peu d'assurance, et se frayait difficilement un chemin pour dépasser le stade des vestiaires. Il y avait là de grandes et belles dames portant des tenues merveilleuses.
Elle faisait un peu pitié dans sa robe de paysanne, mais après tout, il n'était pas précisé sur son invitation qu'il fallait être noble où argenté pour venir s'amuser à un bal masqué.
Heureusement qu'elle était mince, elle se glissa entre deux crinolines et se faufila jusqu'à la salle de danse.

Bonsoir, bonsoir, à chaque pas qu'elle faisait, d'un signe de tête elle saluait et disait bonsoir par politesse. Elle ne reconnaissait personne et avait peur de s'ennuyer. Mais lorsqu'elle entendit la musique des ménestrels, elle se détendit et souhaita très fort qu'un beau prince charmant vienne l'inviter à danser, car la petite Lisette adorait se trémousser et s'amuser.

Voici plusieurs jours déjà que la belle s'afférait à confectionner la robe qu'elle allait porter le soir du bal. Il avait fallu dessiner la patron, puis choisir et couper le tissu, pour enfin coudre et broder.... Cela lui avait demandé beaucoup de temps mais au final elle était fière et satisfaite du résultat, bien que la toilette fusse assez simple. Mais après tout pour être jolie nul besoin de trop en faire, et elle comptait sur la sobriété de l'habit pour souligner son élégance et sa grâce naturelle qui n'avait guerre l'occasion de se manifester dans sa vie de tous les jours...

Enfin le grand soir était arrivé, elle était impatiente d'arriver à la fête, c'est qu'elle avait pris toutes les précautions pour être jolie.
Elle avait pris un bain qu'elle avait parfumé à la rose et au muguet, elle avait coiffé ses longs cheveux châtain qu'elle nouait généralement en chignon, et les reflets roux qui courraient sur sa chevelure faisaient ressortir la pâleur de sa peau et le brillant naturel de ses lèvres carmin.
Elle n'avait mis ni poudre, ni artifices, rien d'autre qu'un trait noir sous ses yeux pour souligner le gris-vert de son regard, comme le font ces envoutantes danseuses des pays d'orient...
Elle avait enfilé sa robe aux jupons noirs et gris, et serré le corset noir finement brodé d'argent au maximum affin de marquer le plus possible la finesse de sa taille, et de mettre en valeur sa gorge qu'elle s'escrimait d'ordinaire à cacher.
Oui ce soir elle était décidément méconnaissable...

Pour sortir elle s'encapuchonna sous une cape de lin noir afin de ne pas se décoiffer.
A ses pieds elle n'avait mis ni bottes ni chausses, seul un ruban noir cerné de fils d'argent était lassé autour de sa cheville et son mollet gauche. Oh surement personne ne remarquerait ce détail, car sa robe était bien longue, mais si d'aventure un regard indiscret glissait sous son jupon et découvrait la cheville, furtivement dénudée par le tourbillon d'une danse, il ne pourrait que sourire devant cette originalité...
Avant de sortir enfin de chez elle elle prit le loup qu'elle avait commandé, c'était un magnifique et authentique masque vénitien or et argent...

Arrivée enfin à la salle des fêtes, elle entra et fut accueillie par une charmante hôtesse à qui elle laissa sa cape.
Bien qu'étant en avance il y avait déjà du monde et ma musique raisonnait jusqu'au vestiaire, de même que les rires et les murmures des conversations des Cambrésiens.
Le vestibule était pourtant vide à présent mais pas depuis longtemps, elle avait vu en arrivant un couple déguisé en Robin des bois, et une jeune Demoiselle entrer dans la salle de Bal.

Prenant bien soin de garder son masque devant son visage elle entra à son tour.

[==> vers: La Piste de Danse]

Marge arriva au bras de son Homer. Elle s'était vêtue d'une de ses plus belles robes pour cette soirée. sortir avec Homer était si rare que dès qu'une soirée mondaine se présentait, elle n'hésitait pas à l'y trainer. Elle avait laissé les enfants à ses sœurs et ils avaient la nuit devant eux pour danser, ripailler en espérant que Homer ne fasse pas ça, et qui sait faire des choses plus particulières ....

Ils étaient à peine arrivés que son bel homme regardait avec insistance la préposée aux vestiaires. Elle fronça les sourcils et tenta d'amener son Homer vers la piste de danse....

Homer j'ai les jambes qui frémissent comme à notre première rencontre !

Homer était tout excité à l'idée de passer cette soirée avec Marge, sans les enfants.... Il sentait qu'ils allaient bien s'amuser.
En voyant la charmante hôtesse des vestiaires, il avait les yeux qui sortaient presque de leurs orbites et sa bouche s'ouvrait béatement...
Marge voulut le traîner vers la piste de danse, mais il était encore rivé dans le décolleté de la jeune fille.

Homer j'ai les jambes qui frémissent comme à notre première rencontre !

Allons faire trembler la piste de danse ma Marge dit-il en l'embrassant et en lui prenant la main

Neo venait à peine d’arriver à Cambrai, qu’elle apprit l’existence du Bal qui débutait justement le jour même. Heureux hasard ? Mais pouvait-elle s’y présenter, sans invitation autre que l’affiche qu’elle avait dénichée ? De nature timide, elle décida cependant d’oser, pour une fois, et de s’y rendre, quitte à ce qu’on lui en refuse l’accès.

Elle s’empressa de prendre un bain, afin d’enlever de son corps et de ses vêtements, toutes traces de son voyage. Elle extirpa de son balluchon son unique robe : elle devrait s’en contenter… n’en n’ayant point d’autre. Elle la trouvait fort banale, anticipant des toilettes autrement sophistiquées.

Soudain, elle se souvint du charmant voyageur, rencontré en cours de route, qui lui avait conté fleurette et lui en avait justement laissées : un tout petit bouquet de fleurs de jasmin. A ses dires, on tentait de cultiver ces fleurs odorantes, dans la ville de Grasse, d’où il arrivait. Neo en piqua une dans ses cheveux, en orna le haut de sa robe, et plaça la dernière entre ses seins… pour l’odeur enivrante qu’elle dégageait.

Elle refit son baluchon et, d’un pas décidé, se dirigea vers la salle des fêtes. Il y avait un monde fou ! Impressionnée par l’allure des femmes, la prestances de certains hommes, par les rires, tonitruants pour certains, hystériques pour d’autres, par les conversations qui fusaient de partout, Neo attendit quelques instants, sur le pas de la porte, avant de plonger dans ce capharnaüm qui s’annonçait…

Elle salua la jeune dame, à l’entrée, surprise par l’audace de son décolleté vers lequel convergeaient plusieurs regards masculins.
Puis, pénétra dans la place, médusée par tant d’apparat… Elle ne connaissait personne, évidemment… Hall d'entrée et vestiaires Jasmin10

Un homme sombre, masqué, approcha de la fête. Il avait eu vent que Cambrai organisait un bal et décida qu'il ferait lui aussi partie de la fête, bien qu'il préférât garder son identité secrête. Il changea donc d'apparence et se présenta à la fête attendant de voir ce qu'il s'y passerait et les rencontres qu'il y ferait...
Il saluait les convives qu'il croiserait d'une voix sombre et mystérieuse.

Bonjour, je me présente, je suis Gabriel, le messager, le porteur du Message... Si vous voulez que je prenne un message, faites moi signe...