Buffet de soirée

Marge l'entraînait si vite vers la piste de danse, qu'il ne put jeter qu'un oeil furtif vers les mets succulents qui s'entassaient sur le buffet. Il avait si soif aussi que sa langue lui collait au palais. Il se laissa trainer sur la piste, mais l'esprit tourné vers toutes ces chopines alignées là bas.......

Marge, c'est toujours aussi plaisant de danser avec toi. La musique, toi dans cette belle robe.... Toutes ces chopes !!!!!!! Je ne te l'ai pas encore dit, mais tu es splendide ce soir Comme ces chopes aussi d'ailleurs !!! Tu es si légère quand tu danses ma chérie.... Tout comme la mousse de ces bières doit l'être !!!

N'y tenant plus, après une pirouette endiablée, il laissa tomber Marge au sol et se précipita vers l'objet de ses désirs.....

anck rit de sa réponse.

je vois, un de cela ou un autre vous garderez le mystére à moins que je ne le découvre par moi même.

elle le suivit vers un endroit qui s'emblait à peu près intact plus à l'égard du groupe de fêtard.

cambrai est en effet une ville déroutante pour ses visiteurs. pensez vous qu elle nous réserve elle aussi encore bien des surprises.

elle partit un instant dans ses pensés, elle trouvait cette homme bien charmant et mystérieux mais cependant bien passif également. elle regarda dans la direction du groupe de soiffard une drôle de poupée dont émaner des ondes maléfique était avec eux et elle le sentait cette choses préparer un mauvais coup.
les deux molosse devaient être de bon guerrier mais sous la rudesse certainement de bon bougre. les autres hummm un des gens commun la pour s'amuser.

toujours dans ses pensés elle ne se rendait pas compte qu'elle fixé le vide. comme dans un état second ...

Marge avait réussi son coup et elle et son Homer étaient en train de danser, bien qu'il avait mis un coup d'oeil au buffet. Elle était si heureuse qu'il ait préféré sa compagnie à celle de la bière ou des mets, qu'elle ne voyait rien d'autre autour. Son amour était toujours aussi vif et son homme était en plus dans un soir très spécial, lui donnant des mots doux qu'elle n'avait pas l'habitude d'entendre.

Marge, c'est toujours aussi plaisant de danser avec toi. La musique, toi dans cette belle robe.... Rhooo Homeer houhou, houhou, lui dit-elle en continuant la danse, rire de petite fille à l'appui. Je ne te l'ai pas encore dit, mais tu es splendide ce soir Houhou, houhou.... Tu es si légère quand tu danses ma chérie.... Houhou, houhou......

Marge était aux anges et continuait à se sentir si bien dans les bras de son homme quand d'un coup elle se retrouva les fesses au sol. Elle fut quelque peu sonnée, mais reprit ses esprits pour voir où était son Homer. Elle le regarda courire vers les chopines et grommela en elle même.

Marge se frotta les fesses et vit son homme revenir vers elle. Il lui tendit la main et la remis sur pied en la faisant virevolter énergiquement. Elle le regarda avec des yeux toujours autant amoureux.

Alors ma poulette, on continue cette danse ???

Houhou, houhou, tu sais t'y prendre avec moi mon Hoomeeer, houhou.

anck toujours dans un état second n'entendait plus ce qui l'environner elle était sur d'autres fréquence et elle frissonna.

les ondes noires qui entourait la poupée démoniaque trouvait un autres éco non loin. mais elle ne parvenait pas à en voir l'origine. des flashs de scénes sanglante, se superposer à une vitesse folle et elle se vit dedans ainsi que son cavalier. ce qui la fit tressaillir, ce n'était encore jamais arrivé avant.

La Princesse deClèves s'approcha à son tour du buffet. Elle pris une choppe et commença à la boire tranquillement. Elle s'approcha ensuite du groupe de personne.
Bonjour à tous !

elle revient à elle petit à petit mais se sentait chancelante par la force de sa vision. un profond malaise s'emparer d'elle et elle s'accrocha un peu plus au bras de gabriel qui ne semblait s'être aperçut de rien.

il se passait quelques choses dans cette pièces une force énorme et maléfique était présente. elle la ressentait de plus en plus. mais dans la foule elle ne parvenait pas à trouver qui. un souffle glacial la frôla dans le dos et elle frissonna. elle sut alors qu'elle ne chercher plus une forme humaine.

sortons gabriel si vous le voulez bien j'ai besoin de prendre l'air, il y a trop de monde ici je ne me sent pas très bien.

anck encore étourdit sourit à son cavalier.

je danserais avec vous bien volontiers, mais j'aimerais prendre un peux l'air avant sortons si vous le voulez bien juste un instant. la nuit doit être si belle il serait dommage de ne pas en profiter.

elle se sentait oppressé mais ne voulait pas qu'il s en rende compte elle évoqua donc ce prétexte niaiseux pour détourner son attention.

mais je vous promet plusieurs danses endiablé par la suite. après tout ne somme nous la pour autres choses ?

lui dit elle l'oeil aguicheur, et le sourit séducteur.

anck toujours à son bras fut soulagé qu il accepte de sortir et le guida vers la sorti.

je vois que vous n'oubliez pas, mais à bien y réfléchir j'espère ne pas avoir cette occasion si rapidement.

elle était tendu à l'extrême à mesure que le temps passé elle ressentait de plus en plus des choses inhabituel, elle s'en inquiéta.

(suite "sonate au clair de lune")

Stellie bougea sa jambe un peu surprise d'une telle prise, elle regarda l'homme qui devait avoir bien bu (il en a de la chance lui)

Je m'appelle Stellie et vous même ? répondit elle de sa douce voix

Elle se pencha et regarda sous la table par curiosité, ne faisant pas attention que son large décolté était à portée du sieur en question....

Dans son empressement, Lisette, ne regardait pas devant, et percuta la jolie Robinette. Je vous prie de m'excuser Dame, je suis maladroite et très pressée.
Tout en se redressant, Lisette respirait à plein nez, le doux et délicat parfum de la jouvencelle. Un peu étourdie par la fraîcheur qu'elle dégageait, dans un geste non calculé, elle saisit la main de Robinette et lui flaira discrètement le bras, pour remonter jusqu'à sa gorge, si blanche et si pure, qu'elle en eut presque le tournie.
Mais ma foi, je ne suis pas si pressée que cela en fait, laissez-moi juste le temps de courir au vestiaire, et je reviens vers vous, nous pourrons nous faire toutes les excuses du monde pour nous être percutées avec autant de maladresse. Surtout ne bougez pas, je reviens vers-vous, je vais en profiter pour glaner un verre où deux de cette délicieuse boisson qui pétille et qui étourdie!